• La pratique de l’agriculture pluviale itinérante de type traditionnel pratiquée par les familles rurales, avec l’utilisation de pratiques agricoles non durables liées à l’appât du gain rapide et/ou à la pression démographique sur les ressources naturelles, notamment l’augmentation des surfaces de cultures vivrières de subsistance sur brûlis non planifiées;
• A la présence d’importantes surfaces des cultures de manioc en milieu forestier;
• La pression des populations en provenance d’ailleurs à la recherche des terres cultivables;
• La faible capacité des institutions traditionnelles et locales à gérer les terres et les ressources naturelles ;
• Les méthodes de caisson non appropriées utilisant beaucoup le bois de chausse;
• Le manque d’information et/ou de formation de la population et/ou des autorités;
• Le manque d’encadrement de la population et/ou des mesures règlementaires équilibrées et bien adaptées;
• Disparition complète de certaines parties des forêts galeries (remplacées actuellement par les prairies/savane);
• Présences et naissance des érosions, détruisant l’avantage ces écosystèmes, réduction des terres arables ;
• Réduction de la durée de la jachère pratiquée par les familles rurales;
• Diminution de la production agricole, diminution de leur revenu et donc appauvrissement des familles;
• Exode rurale des jeunes (vers les grandes villes);
• Pour les femmes en particulier : dans le cadre de l’agriculture (pluvial) itinérante pratiquée par les familles rurales agriculture susceptibles d’être affectée par un changement climatiques, la femme rurale et agricultrice reste confrontée quant à son autonomisation économique à plusieurs discriminations (dans l’accès durable et sécurité à la terre, dans l’accès à la technologie de l’information, faible encadrement technique, un accès limité au crédit agricole, difficultés dans l’accès aux activités à valeur ajoutée et aux marchés).

En apportant quelques solutions adaptées à ces facteurs, l’ONG permettra à la population d’IDIOFA de s’adapter tant soit peu aux changements climatiques et réduire la dégradation des écosystèmes.

La ferme volonté de commencer adapter ces défis dans la zone d’Idiofa à court terme et dans la RDC à long terme dans le domaine de l’environnement et le développement durable nous amène à créer une organisation non gouvernementale de développement dénommée ONGD FAJA LOBI en sigle FALO/ONGD.